Bague viking
2 crânes du Valhalla

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    • Description
    • avis
    • symbolique

    En toute sobriété et en toute discrétion cet incisif bracelet 2 crânes sur cuir tressé vous fera remarquer dans le bon sens du terme où que vous soyez toujours pour le meilleur

    • Cuir Tressé (Agneau) : aspect souple et soyeux
    • Acier Inoxydable 316L : ne noircit pas, ne s'oxyde pas
    • Fermoir Aimanté de qualité
    • Aucune Forme de Gêne sur votre peau
    • Détails soignés

     

    Ah, ces Vikings, ces gaillards bardés de fer, avec leurs casques cornus, des hérauts de la mort ambulants, semant la désolation partout où leurs drakkars les portaient. Pendant la mêlée, c'était un carnage, un vrai, avec des épées qui sifflaient, des haches qui tranchaient et du sang qui giclait comme de l'eau d'un puits fou. Et puis, au milieu de cette danse macabre, une pause, un instant de répit dans l'horreur, où ces barbares se donnaient des coups de tête, des bons vieux "coups de boule", un geste de camaraderie dans ce chaos indescriptible.

    Une fraternité brutale, une sorte d'amour féroce entre ces tueurs, une façon à eux de se dire : "On est encore là, encore en vie, frère !". Et quand le tumulte de la bataille s'apaisait, quand le dernier cri de guerre se taisait, ces guerriers, épuisés mais triomphants, retiraient leurs casques, laissant apparaître des visages marqués par la guerre, des yeux qui avaient vu l'innommable. Et là, ces enfants déguisés en monstres de fer, se mettaient à un nouveau jeu, aussi absurde que dangereux, se cogner le crâne, dans une éclatante cacophonie d'os et de rires.

    Quelle folie, quelle étrange manière de célébrer la vie après avoir flirté si intimement avec la mort ! On pourrait juger ces pratiques barbares, insensées, mais qui sommes-nous pour juger ? Ces rituels, ces "conneries" comme on dirait, c'était leur grigri, leur porte-bonheur dans cette lutte sans fin. Et par tous les dieux, ça marchait pour ces fous furieux ! Chaque coup de tête, chaque rire, chaque gaminerie, c'était un talisman contre la défaite. Ils gagnaient, ces diables, ils gagnaient toutes leurs foutues batailles, avec leur fraternité de crânes durs et de cœurs ardents.